°° WEBTUBE : La crise politique française est sans précédent et aura de graves conséquences pour le quotidien des Français. Dans ce triste contexte, de nombreuses questions se posent : Que va-t-il se passer au lendemain de la validation de la motion de censure ? Quel futur gouvernement ?
M. Macron va-t-il démissionner ou déclencher l’article 16 qui lui donnerait les pleins pouvoirs ? Quelle sera alors l’ampleur de la crise économique, sociale et sociétale ? Comment vont évoluer les taux d’intérêt ? Quels impacts sur l’investissement des entreprises, sur l’investissement logement, sur la consommation des ménages ? Quelles perspectives pour l’activité économique et le chômage ? Comment peut-on redresser la barre ? Question de la semaine : l’Etat français est-il en faillite ? Quelle est la bonne nouvelle de la semaine ? Réponses à toutes ces questions et à bien d’autres dans cette vidéo, graphiques et tableaux explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui..
. [MEDIAS] Affaire Sansal : des relais d’Alger dans les médias français ?
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°° WEBTUBE : Dans ce qu’il est désormais permis d’appeler « l’affaire Boualem Sansal », deux camps médiatiques s’opposent. Il y a celui qui soutient l’auteur embastillé avec, dans ses rangs, Le Figaro, BV, Charlie Hebdo ou encore la Revue politique et parlementaire. Et il y a celui qui préfère ne pas prendre parti, voire qui incrimine le septuagénaire. France 5 figure dans cette seconde catégorie.
Faites entrer l’accusé
On ignore si l’écrivain a une télévision captant les chaînes françaises dans ses geôles, mais si oui, il a pu assister à son propre procès, qui s’est tenu dimanche 24 novembre, dans l’émission hebdomadaire C Politique. Entre autres témoins à charge appelés à la barre, il y avait le très virulent Nedjib Sidi Moussa. Ce docteur en science politique n’a pas hésité à charger le prisonnier Sansal et contester sa qualité d’homme des Lumières. « Il se trouve que Boualem Sansal, depuis quelques années, alimente un discours hostile à l’égard des immigrés, des musulmans et reprend tous les thèmes d’Éric Zemmour ». Et de s’adresser à l’animateur : « Vous auriez pu prendre l’extrait d’un entretien qu’il a donné à Frontières, média d’extrême droite, c’est tout de même choquant. »
Voilà comment on a parlé de Boualem Sansal à 20h10 sur le service public
— Destination Télé (@DestinationTele) November 24, 2024
Quelle honte de contribuer au financement de ça🤢 pic.twitter.com/Tgcu32kPWG
Contacté par BV, Gilles-William Goldnadel a annoncé que l’association qu’il préside, Avocats sans frontières, avait lancé une saisine de l’Arcom contre cette « invraisemblable émission » de France 5. « On voit deux intervenants se déchaîner contre Boualem Sansal, alors même qu’il est dans les geôles de la dictature algérienne, s’est-il indigné, à notre micro. Le présentateur, monsieur Thomas Snégaroff, ne tente même pas de les modérer un peu. Au contraire, de temps en temps, il les relance en disant : “Il épouse le discours du colonisateur, M. Sansal ?” J’ai beau connaître assez bien l’idéologie du service public, je ne pensais pas qu’un écrivain franco-algérien aussi respecté que M. Boualem Sansal puisse être ainsi mis en cause, taxé “d’extrême droite”… »
Mais au lieu de présenter ses excuses pour ses propos, le désormais fameux Nedjib Sidi Moussa est allé dans Mediapart, mercredi 27 novembre, afin de se présenter comme la victime d’une « virulente campagne de dénigrement raciste organisé par la fachosphère » et d’en remettre une couche sur la « dérive extrême-droitière » de Boualem Sansal. Il a même profité de cette interview fort complaisante – menée par un certain Yunnes Abzouz – pour aller encore plus loin dans ses accusations contre l’auteur à succès. « Son discours est tout sauf humaniste : il est raciste, colonialiste et réactionnaire », a avancé le politologue, avant d’évoquer, entre autres griefs, un « séjour controversé » de Boualem Sansal en Israël, en 2012, qui aurait suscité « l’hostilité d’une grande partie du lectorat algérien ». Ce serait donc cela, aussi, qui lui serait reproché, de l’autre côté de la Méditerranée ? De ne pas être antisémite ? Il fallait le dire tout de suite.
Nedjib Sidi Moussa politologue sans poste mais au service de son maître, crache son venin sur Boualem Sansal, Kamel Daoud et tous les arabes qui ne servent pas la cause « indigène ». Ce qu’il a dit en plateau est bien peu par rapport à ce qu’il confie ici à médiapart. https://t.co/tBulCnXV2N pic.twitter.com/RMez8BBZC6
— Florence Bergeaud-Blackler 🎓 (@FBBlackler) November 28, 2024
Jeudi 28 novembre, l’ancien eurodéputé Karim Zéribi a relayé, sur Instagram, la vidéo d’une de ses interventions sur la radio communautaire Beur FM où il reprend peu ou prou la même rhétorique que Nedjib Sidi Moussa. Lui aussi voit dans la défense de Boualem Sansal le faux nez d’une islamophobie latente. « C’est Marine Le Pen qui fait des tweets, c’est Bardella. Tout d’un coup, ils aiment les Franco-Algériens quand ils crachent sur l’Algérie, quand ils diffusent la haine de l’islam, du musulman », estime celui qui officie régulièrement sur CNews.
Radio Alger
Mais au-delà de ses soutiens, c’est l’auteur lui-même qui serait condamnable, selon Karim Zéribi. Boualem Sansal « alimente un fonds de commerce qui est celui de l’extrême droite et d’une partie des pseudo-intellectuels réactionnaires », affirme l’ancien conseiller municipal EELV de Marseille. Il faudrait donc, selon lui, que « les gens de paix » s’unissent contre « ces Boualem Sansal, pseudo-écrivains islamophobes qui propagent la haine ».
Si Karim Zéribi reste opposé à un emprisonnement à vie du malheureux septuagénaire, il recommande néanmoins à l’Algérie de lui « interdire de rentrer sur son sol », voire même de « le déchoir de sa nationalité ». Faut-il, de manière symétrique, déchoir de leur nationalité française tous les binationaux qui insultent notre pays ? Nul doute qu’une telle mesure – qui n’est proposée chez nous par personne, pas même Éric Zemmour ou Marine Le Pen – serait immédiatement qualifiée de raciste et xénophobe par ceux qui la préconisent de l’autre côté de la Méditerranée…
Karim Zeribi : « Les gens de paix doivent s'unir pour mettre à mal ces Boualem Sansal pseudo-écrivains islamophobes qui propagent la haine. »
— La Lanterne (@lalanternemedia) November 28, 2024
pic.twitter.com/9Lfvar7QzF
Prenant manifestement cette affaire très à cœur, l’ancien eurodéputé et militant associatif a profité d’un passage sur CNews pour réitérer ses propos. « Je ne suis pas un défenseur de Boualem Sansal, a-t-il maintenu. Ses écrits sont islamophobes, ses sorties aussi, il ne combat pas l’islamisme. Il est également négationniste. » Entre la liberté d’expression d’un écrivain et la défense de l’État algérien, Karim Zéribi a manifestement choisi.
Mais pourquoi s’en étonner ? La fidélité – l’allégeance ? – du sieur envers l’Algérie n’est pas un scoop. Non content de prendre en permanence la défense des quartiers « populaires » lors de ses interventions télé, Karim Zéribi entretient des relations très étroites avec l’ancienne colonie française : début 2024, l’homme d’influence a cofondé le Conseil mondial de la diaspora algérienne, une structure commerciale présentée au Maghreb comme « le nouvel outil du soft power algérien à l’étranger »… Autant dire que ce n’est pas de lui que viendra la critique la plus sévère de la dictature algérienne.
Jean Kast, Riposte Laïque
. Il faut sauver l’économie française, sinon elle va s’effondrer
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°° WEBTUBE : Alors que le Sénat poursuit l’examen du Budget 2025, le Premier ministre a d’ores et déjà annoncé qu’il pourrait utiliser le 49.3 pour le faire adopter. Dans ce cas-là, les forces d’opposition déposeraient une motion de censure, entrainant la chute à la fois du gouvernement, et du texte si elle est votée. Le Budget 2024 serait alors dupliqué pour l’année prochaine. L’économiste Marc Touati estime que cela pérenniserait notre déficit public, voire l’augmenterait. Le plus dramatique, serait de devoir « toucher à l’épargne des Français », imagine-t-il.
Un des moyens évoqués pour redresser les finances publiques, notamment par l’ancien ministre de l’Économie Bruno Le Maire, consisterait à augmenter le temps de travail des Français. Le Sénat avait voté pour ajouter 7 heures de travail supplémentaires non rémunérées dans le Budget de la Sécurité sociale, avant que la mesure ne soit supprimée en commission mixte paritaire. Pour l’économiste Marc Touati, « il faut donner le choix » aux citoyens, mais en effet, « si l’on travaille moins, ça sera encore plus dramatique » pour le pays.
Autre interview sur TVL :
. Marre des SUV électriques ? Regardez cette vidéo.
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°° WEBTUBE : Vous voulez du thermique pas cher ? Du plaisir de conduire sans malus extravagant ? J’ai ce qu’il vous faut.
00:00 Introduction 01:08 Des bonnes affaires à faire 01:31 Pourquoi acheter du thermique ? 02:37 Thermique = sport ?? 03:44 Increvable Fiat Panda 05:01 Best Seller Dacia Sandero 06:57 Indestructible Toyota Corolla 08:22 Quelle voiture familiale choisir ?? 08:57 Un marché thermique pas cher exsangue 10:18 Éternelle Mazda MX-5 !! 12:13 La dernière GTI 13:21 Comment Alpine a tué Porsche 14:48 D’autres voitures sympas 16:30 Acheter une 320d à 60000€ ?? 17:50 Conclusion
. [POINT DE VUE] Romans-sur-Isère : l’extrême gauche appelle à l’intifada
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°° WEBTUBE : Ce samedi, il y avait deux défilés pour Thomas, à Romans-sur-Isère : deux salles, deux ambiances, comme on dit, mais aussi deux poids deux mesures.Il y a maintenant un peu plus d’un an, Thomas Perroto était tué à coups de couteau, à la sortie d’une fête de village, dans les conditions que l’on sait. À ce jour, aucun meurtrier n’a été identifié, comme le rappelait Clémence de Longraye, le 18 novembre dernier. Une affaire suffisamment emblématique pour qu’une association de patriotes, « Justice pour les nôtres », s’en saisisse comme d’un totem.
Évidemment, l’organisation de ce rassemblement n’a pas été facile. Il y a des combats qui sont bien vus et il y en a d’autre que la presse se fait un plaisir de salir. D’abord, ce rassemblement a fait l’objet d’une campagne de dénigrement assez prévisible. La presse a parlé d’un rassemblement « d’ultra-droite » (c’est-à-dire de droite) ; alors, dans un réflexe pavlovien, l’extrême gauche (en langage journalistique, « la gauche ») a décidé de lancer une contre-manif pour montrer que ¡No pasarán!, que siamo tutti antifascisti, et caetera… Pour siffler la fin de la récré, la préfecture a interdit les deux manifestations, puis la Justice a décidé d’autoriser les deux…
À ce sujet — Thomas : un an après, 350 auditions menées et aucun meurtrier identifié
Bref, ce samedi 30 novembre, donc, il y avait une centaine de militants de « Justice pour les nôtres ». Silencieux, statiques, dignes, ils n’ont ni marché en hurlant, ni cramé des Abribus™, ni pillé des magasins, ni attaqué les forces de l’ordre. Pour entourer ces dangereux nazis, il y avait davantage de policiers que de manifestants. C’est ce que l’on appelle la démocratie. Et puis, en face, il y avait le carnaval des luttes : environ 700 personnes, rameutées de toute la France, dont, selon le JDD, le célèbre député LFI Raphaël Arnault, fiché S, contre ceux qui considèrent que la vie de Thomas a un prix. On n’en est plus à une ignominie près. Et puis, il fallait ajouter un petit quelque chose, une petite cerise sur ce copieux gâteau : la Palestine. Ce fut chose faite, avec une banderole d’Urgence Palestine, sur laquelle on pouvait lire : « La Palestine, notre boussole anticolonialiste et antiraciste ! Soulèvement et résistance ».
Ce qui est en train de se passer à Gaza ne relève sans doute pas spécialement du plus grand humanisme. En revanche, ça n’a strictement rien à voir avec ce qui s’est passé à Crépol. La Palestine n’est en rien la boussole de ces guignols gauchistes qui ont simplement décidé de salir la mémoire de Thomas. La presse française, à l’exception du JDD, n’en dit pas grand-chose. Évidemment. En France, on peut donc tranquillement appeler à l’intifada tout en qualifiant un rassemblement d’hommage, silencieux et pacifique, de manifestation d’ultra-droite.
Il y a des choses scandaleuses qui mettent du temps à changer, même dans un pays qui n’a jamais été aussi à droite. Ce sont des choses qui font naître, dans le cœur d’un peuple que l’on ne cesse de mépriser, un sentiment de révolte. La police, les juges, les journalistes et les politiques n’y trouveront rien à redire. Jusqu’à quand ?
Arnaud Florac, BV
. Gilles-William Goldnadel poursuivi par Radio France : sa réaction pour BV
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°° WEBTUBE : Radio France contre-attaque. Mis en cause pour son étrange silence sur l’affaire Jean-Philippe Desbordes – ce journaliste de gauche condamné, vendredi 22 novembre dernier, à vingt ans de réclusion criminelle pour viols, actes de torture et de barbarie sur les filles de son ex-compagne –, le groupe public a dénoncé des « attaques nauséabondes » à son encontre. Il a annoncé engager des poursuites judiciaires contre Gilles-William Goldnadel qui, sur CNews, voyait dans cette omerta « une sorte de privilège rouge ». Pour la radio publique, l’avocat a « franchi les limites de l’abject et de l’absurde » en tentant « d’établir une aberrante complicité de [ses] équipes avec un individu – dont le passage éclair sur [ses] antennes date d’il y a plus de 30 ans ».
Concernant les dernières attaques nauséabondes de
— Radio France (@radiofrance) November 29, 2024
Gilles-William Goldnadel à l'encontre des radios du service public pic.twitter.com/aNRj9IaSB0
« Contrairement ce qu’ils disent, il n’y a pas “plus de trente ans” que ce Jean-Philippe Desbordes était sur Radio France. J’ai montré, vendredi, qu’il sévissait encore en 2012, a répliqué Me Goldnadel, au micro de BV. Par ailleurs, je n’accuse pas du tout Radio France d’être complice des viols multiples avec actes de barbarie commis par monsieur Desbordes ! Je leur reproche de ne pas en avoir dit un mot. Je compare avec l’affaire Pélicot qui n’est ni plus ni moins grave, à mon sens, que cette affaire. »
L’écart « abyssal » entre les deux affaires, qui en choque beaucoup, est en effet une réalité incontestable : tandis que les viols de Mazan ont occasionné pas moins de 130 articles sur le site de Radio France, on n’en trouve pas un seul évoquant la condamnation de M. Desbordes. « Compte tenu du passage de M. Desbordes sur le service public – j’ai produit une photo où il apparaît tranquillement au micro de France Inter -, il y avait pour eux une obligation morale encore plus grande d’en dire quelque chose, poursuit l’avocat. Et je parle de radios féministes ! Je parle de radios qui sont capables de faire une émission sur les comportements inappropriés de certains cinéastes datant de plus de trente ans ! »
« Décodeur patenté » des médias de service public
Citoyen soucieux de l’usage fait de ses impôts, Gilles-William Goldnadel ne manque jamais une occasion de rappeler l’audiovisuel public à ses obligations en termes d’objectivité et de pluralisme. Il reproche notamment à certaines antennes leur couverture partiale du conflit israélo-palestinien. « D’ailleurs, j’ai fait sanctionner par l’Arcom Radio France pour avoir pris pour argent comptant les bilans du Hamas à Gaza, parfois même sans en indiquer la source, rappelle l’avocat. Mais il n’y a pas que les informations, il y a aussi toutes les émissions wokistes qui vont autour et qui sont aussi graves. Le manque de pluralisme, le nombre très important de journalistes qui émanent de la gauche et de l’extrême gauche, la manière dont ils se permettent, via leurs humoristes de sévice public, de critiquer les télévisions privées en général et CNews en particulier… »
«L’Arcom m’a donné raison selon le principe de l’honnêteté et dans le cadre du conflit israélo arabe. Il demande fermement à France Inter d’être prudent.Ou bien il faut sourcer ou bien lorsqu’il cite le Hamas mouvement terroriste, ils doivent prendre de la distance et indiquer… pic.twitter.com/7ww1X3qYKZ
— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) April 16, 2024
À ce sujet — Un ex-journaliste de France Info condamné pour 700 viols ; motus à gauche
Ces menaces de poursuite seraient-elles de nature à faire reculer le président d’Avocats sans frontières ? Ce serait mal le connaître. « Est-ce que madame Sibyle Veil pense un seul instant que cela va me réduire à quia, alors que le combat contre le manque de pluralisme sur le service public subventionné par mes impôts et les vôtres est l’un des combats les plus essentiels de ma vie ?, nous répond-il. J’ai la vanité de croire que j’ai marqué des points. Je pense qu’aujourd’hui, malgré l’audience très importante de Radio France, les gens qui l’écoutent ont un décodeur, en partie grâce à mon influence. Je pense que dans le combat culturel qui est le mien, je fais œuvre utile. »
En dépit des menaces, Gilles-William Goldnadel ne désarme pas. C’est dit. Radio France n’en a pas encore fini avec lui.
Jean Kast, Riposte Laïque