Des bandes de jeunes venus de Mostaganem, ville portuaire algérienne, prennent peu à peu le contrôle de la délinquance toulousaine aussi bien dans la rue que dans les prisons.
« Ils n’ont rien à perdre et sont capables de tout. Il m’arrive d’avoir peur d’être poignardé lorsqu’il s’agit de les interpeller », témoigne un policier municipal. Les forces de l’ordre luttent au jour le jour contre une délinquance portée par certains ressortissants algériens originaires de la ville de Mostaganem. Les pouvoirs publics s’en alarment. Un rapport vient d’être transmis à tous les policiers nationaux du département.
Beaucoup sont visés par des obligations de quitter le territoire mais les relations entre l’Algérie et la France sont actuellement très tendues.« Je pense au cas Fettah Malki, le délinquant qui a armé Merah. L’Algérie refuse de l’accueillir. Et ce n’est pas un cas isolé », explique un avocat. Depuis le début de la crise sanitaire, elle n’a fait exception que pour un seul ressortissant.
La délinquance en matière de stupéfiants, impliquant des Mostaganémois, a explosé en 2021. Elle a plus que doublé en un an. Les atteintes aux personnes prêtées à certains membres de cette population épousent la même tendance depuis plusieurs années. C’est aussi le cas du nombre de procédures judiciaires concernant des personnes originaires de Mostaganem. Il y en avait près de 400 en 2016 pour 800 en 2021.
L’an dernier, plus d’un millier de clandestins de cette ville portuaire d’Algérie ont été arrêtés soit pour vol, agression ou vente de drogue.
(…) Cette domination sur les autres groupes de délinquants se prolonge jusqu’en prison, où ces ados sans papiers s’organisent et forment un véritable gang.
« Lorsque nous les appréhendons, ils nous donnent toujours des fausses identités. Ces migrants sont des fantômes qui voient Toulouse comme un Eldorado », confirme un des policiers.
(…) Une fois installés dans la Ville rose, les plus fortunés ont recours à des mariages gris. « Ils se lient avec des Françaises et ne peuvent donc plus être visés par une interdiction de territoire », assure un expert.
Avec cette chanson du jour, retour aux années 80. Du rythme, une superbe sonorité de guitare et une voix étonnante. Voilà un morceau réussi et intemporel. Bon week-end.
Mais pourquoi donc les Européens sont plus ouverts aux réfugiés Ukrainiens qu’aux Afghans, Syriens, ou Africains ? C’est ce qui semble préoccuper les journalistes du journal Le Monde qui ont signé un édito collectif intitulé : « La guerre en Ukraine oblige l’Europe à changer de logiciel sur l’asile »
Un édito qui regrette ce qui se passe actuellement à la frontière entre l’Ukraine et la Pologne : « Malheureusement, de multiples témoignages font état, aux frontières entre l’Ukraine et la Pologne d’une part, la Hongrie d’autre part, de traitements discriminatoires envers les « non-Blancs », principalement des étudiants africains fuyant l’Ukraine »
Outre que ces « multiples témoignages » ont été sérieusement écornés par d’autres journalistes, notamment ceux de Livre Noir, présents sur place, il faut admettre que la rédaction du journal Le Monde met les pieds dans le plat.
« De fait, la volte-face des régimes polonais et hongrois, qui ont fermé leurs frontières aux Afghans et aux Syriens, mais accueillent aujourd’hui à bras ouverts les Ukrainiens, trahit un biais raciste et antimusulman. Similaire, le virage à 180 degrés opéré par des politiciens de droite et d’extrême droite, en Allemagne, en France, au Danemark ou en Italie, reflète le même fantasme d’une Europe « blanche » excluante et fermée »
Ils ont en effet tout résumé. Les Européens, qui n’en peuvent plus de l’immigration extra-européenne qui modifie en profondeur nos territoires, se mobilisent massivement pour aider d’autres Européens, des Blancs comme eux, des catholiques majoritairement, en provenance d’Ukraine. Inconcevable aux yeux de la rédaction du Monde bercée à l’école du « nous sommes tous frères à travers le monde », et « nous sommes tous les mêmes, des humains avant tout ».
Et bien non leur répondent en coeur ces Européens qui se mobilisent solidairement actuellement pour leurs frères et soeur d’Ukraine. Non, tout le monde n’est pas le bienvenue en Europe. Non, nous ne sommes pas tous les mêmes. Oui, il faut discriminer, c’est à dire choisir, un principe qu’y compris les journalistes du Monde appliquent lorsque dans leur vie privée, ils accordent ici le mariage, là une relation d’un soir, à telle personne plutôt qu’à un autre.
En réalité, la réponse à la question : « Pourquoi les Européens sont-ils plus enclin à accueillir les réfugiés Ukrainiens ? » est la même que la réponse inavouée à la question « Pourquoi avez vous quitté Paris et/ou sa banlieue ? » adressée à ces urbains qui fuient les métropoles ou encore « Pourquoi évitez vous certains quartiers des métropoles d’Europe de l’Ouest ? Pourquoi ne prenez vous plus le métro le soir ? » à ceux qui vivent de fait en état de sécession quotidienne. Ou encore « Pourquoi mettez vous vos enfants dans le privé pour contourner la carte scolaire ? ». Ils sont de plus en plus nombreux à avoir la réponse, en Belgique, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Angleterre.
Ils ne la donnent jamais, car elle est pour certains inconcevable à affirmer publiquement, tant la propagande qui s’est abattue sur l’Occident depuis des décennies est puissante. Ceux qui osent y répondre publiquement s’exposent par ailleurs à des persécutions judiciaires, sociales, économiques, qui peuvent parfois couper l’envie de le faire.
Finalement, ils se contentent, pour beaucoup, de mettre fatalistement un bulletin dans l’urne une fois tous les X ans…pour faire passer un message clair, de plus en plus électoralement important, à des candidats et à des élus qui eux mêmes semblent parfois ne pas comprendre la portée simple, basique, de ce message, et qu’ils chercheraient même à atténuer.
Malheureusement pour eux, la réalité, le réel, revient toujours au galop. N’en déplaise aux journalistes de la rédaction du Monde qui rêvent de voir imposer par l’UE à la Pologne, à la Hongrie, aux pays qui résistent, le même flot de migrants venus du monde entier, à la conquête d’un territoire qui n’a pourtant plus rien d’un Eldorado.
Nous n’en voulons pas, répondent en choeur les peuples d’Europe, qui commencent à en avoir marre que leurs volontés ne soient pas entendues. Comment faut-il vous l’expliquer autrement ?
Finalement, la solidarité qui se met en place avec les Ukrainiens actuellement est un formidable bras d’honneur à ceux qui voudraient que cette solidarité existe avec le monde entier.
Il serait temps que la rédaction du Monde commence à comprendre ce que signifient les mots frontières, civilisations, ethnies, cultures, religions, et même couleur de peau. Car les Européens qui les entourent eux, l’ont parfaitement compris.
Messieurs les journalistes, bienvenue dans le monde réel !
Julien Dir
La réponse à la question : « Pourquoi les Européens sont-ils plus enclin à accueillir les réfugiés Ukrainiens ? » est la même que la réponse inavouée à la question « Pourquoi avez vous quitté Paris et/ou sa banlieue ? ». #UkraineRussianWar#Ukrainianrefugees
Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.Crédit photo :
Comment ‘R : Quand on pense qu’Anne Hidalgo se présente aux élections présidentielles et que l’on voit comment elle a saccagé Paris….ça fait froid dans le dos. Les mesures liberticides avec Macron on est déjà bien servi….mais alors avec Anne ce serait le ponpon!
Pour réduire de près de moitié les flux routiers dans plusieurs arrondissements au cœur de Paris, la mairie envisage de mettre en place une « zone apaisée » ou seuls certains usagers auront le droit de circuler en automobile. Toutefois, « il faudra montrer patte blanche » a averti un élu parisien avec la nécessité de présenter des justificatifs à la police municipale. Une disposition qui, en plus d’être juridiquement discutable, a suscité des critiques sur les réseaux sociaux.
Une « zone apaisée » dans la capitale
À Paris, les limites de l’absurde déjà atteintes par la municipalité d’Anne Hidalgo sont en passe d’être repoussées. La capitale doit en effet bientôt se voir dotée d’une « zone apaisée ».
Le terme, s’inscrivant dans la droite ligne de la novlangue à laquelle ont souvent recours les majorités socialistes et « écologistes » aux affaires dans plusieurs métropoles françaises, désigne un vaste secteur au cœur de Paris où la circulation automobile sera interdite. Ainsi, cette « zone apaisée », définie comme une zone à trafic limité (ZTL), couvrira les quatre premiers arrondissements de la ville d’ici à 2024 (initialement prévue en 2022) mais aussi une partie des 5e, 6e et 7e arrondissements.
L’objectif de la mesure, marotte d’Anne Hidalgo, est de faire la part belle, une fois de plus, aux piétons et aux cyclistes ainsi qu’aux transports en commun. Seules quelques exceptions devraient subsister pour certains types d’usagers circulant en véhicules motorisés, à savoir notamment les commerçants, les artisans et les personnes à mobilité réduite.
Sur son site, la mairie de Paris indique en revanche que « le trafic de transit, c’est-à-dire les véhicules traversant la zone sans s’y arrêter », y sera « généralement interdit ».
Avec le devoir de justifier ses déplacements…
Toutefois, à y regarder de plus près, la zone en question serait moins « apaisée » qu’elle ne le prétend pour les rares usagers ayant encore la possibilité d’utiliser une automobile dans ce secteur parisien. Aussi, pour circuler en voiture dans cette zone, il faudra possiblement être en mesure de présenter un justificatif auprès de la police municipale.
David Belliard, adjoint écologiste à la mairie de Paris en charge de la transformation de l’espace public, des transports et des mobilités, a d’ailleurs donné des précisions à ce sujet sur BFM Business le 26 février dernier. « Sur la »zone apaisée », nous allons mettre en place des contrôles à la sortie […]. Avec des contrôles qui seront aléatoires, il faudra montrer patte blanche. Montrer, prouver qu’on avait quelque chose à y faire. »
L’adjoint d’ajouter que la mairie ne veut « plus de trafic de transit, qui représente à peu près 50% du trafic de la zone, pour n’avoir plus que du trafic de destination ».
Outre le fait que cette nouvelle mesure liberticide semble être juridiquement contestable puisqu’elle pose la question de la liberté de circulation, elle a également suscité les railleries sur les réseaux sociaux, notamment en ce qui concerne les justificatifs à présenter aux policiers municipaux.
#AnneHidalgo veut obliger les gens à montrer leur 𝘁𝗶𝗰𝗸𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲 ou ordonnance de médecin pour sortir de la "zone apaisée" du centre de Paris ‼️ Si ma cousine vient manger une bolognaise chez moi, devra-t-elle montrer les tâches de sauce tomate sur son pull❓ pic.twitter.com/imQuiwH18p
Par ailleurs, l’élu LR au Conseil de Paris Aurélien Véron ne s’est pas, lui non plus, privé de tourné en dérision cette volonté de contrôler les Parisiens :
Bcp de questions sur la #ZoneApaisee et l’attestation de déplacement. Si vous allez dîner chez vos enfants, c’est simple : ✅accord manuscrit des enfants ✅attestation de résidence de moins de 6 mois ✅la déclaration fiscale des 2 années précédentes ✅copie carte vitale ✅…
De son côté, la préfecture de police de Paris a émis des réserves sur l’ensemble du projet dans un communiqué : « Le Préfet de Police ne valide pas en l’état le projet. À Paris, la police de la circulation est une compétence partagée entre le préfet de police et la maire de Paris. Tel qu’envisagé, le projet de ZTL à Paris suppose une décision conjointe de la maire et du préfet de police. À ce jour, le préfet de police n’a pas été saisi d’un dossier précis comportant notamment les impacts de cette mesure sur les flux de véhicules et les reports de trafic tenant compte de l’ensemble des aménagements réalisés ou projetés ». Breizh-info.com
Le départ à la retraite de presque tous les médecins issus du baby-boom d’après-guerre laisse maintenant apparaître au grand jour des déserts médicaux, conséquence du numerus clausus imposé aux étudiants en médecine qui n’a pas permis de compenser ce vide. Si on ajoute à cela que les jeunes médecins ne veulent plus travailler autant que leurs aînés, qui sacrifiaient souvent leur vie de famille à leur vie professionnelle, on se retrouve maintenant face à un vrai problème de santé publique, tout particulièrement dans certaines zones géographiques.
En 2006, on comptait 327 médecins pour 100.000 habitants en France. On estime qu’en 2030, cette moyenne devrait chuter à 292. La répartition géographique des médecins est très variable. Certaines régions sont sous-dotées, moins de 300 médecins pour 100.000 habitants, comme la Picardie, la Normandie, la Champagne, les Ardennes, les Pays de Loire, la Bourgogne ou l’Auvergne, alors que d’autres, comme la région PACA ou l’Île de France, sont beaucoup mieux loties avec nettement plus de 300 médecins pour 100.000 habitants.
Devant cette situation, les responsables locaux ont multiplié les solutions pour essayer d’attirer vers leur commune ou leur région de jeunes médecins : création de centres médicaux pluridisciplinaires, mise à disposition gratuite d’un local pendant les premières années d’installation ou aide financière. Aucune de ces solutions n’a fait preuve d’une réelle efficacité, car d’après une enquête publiée il y a déjà quelques années, les jeunes médecins n’envisagent l’exercice libéral qu’en dernier recours. Ils préfèrent majoritairement un exercice salarié, ce qui est difficilement réalisable par les communes ; peu d’entre elles auraient les moyens de salarier un ou plusieurs médecins. Les collectivités locales préfèrent donc les attirer par d’autres moyens et leur proposer une installation locale en libéral.
Parmi les méthodes employées, celle qui semble être la plus prometteuse est celle qui consiste à proposer des bourses aux étudiants en échange d’un engagement à servir dans la commune après leurs études. L’idée n’est pas nouvelle et fut déjà expérimentée, il y a une quinzaine d’années, dans certains départements, avec des résultats mitigés. Certaines communes ou communautés de communes proposaient des bourses dès la deuxième année des études médicales en échange d’un engagement à s’installer pendant plusieurs années dans la région désignée.
Plus récemment, le 1er mars, Le Parisien nous informe que pour pallier cette désertification médicale, la commune d’Argenteuil offre une bourse de 12.000 euros par an aux jeunes médecins désireux de s’installer sur la commune, en secteur conventionné, pendant au moins cinq ans. S’ils ne remplissent pas le contrat, la somme devra être remboursée. Cette aide financière mise à disposition des étudiants en fin d’étude devrait permettre, d’après les responsables municipaux, de pallier le manque de généralistes sur la commune d’Argenteuil, où ils ne sont que 4,3 pour 10.000 habitants, alors que la moyenne en Île-de-France est de 7,2. Rien n’est moins sûr, cependant, car les facilités financières ne sont pas les seuls avantages que recherchent les médecins pour une installation. La qualité de vie joue pour beaucoup, tout comme la sécurité (les agressions de médecins se sont multipliées, au cours des dernières années) à laquelle sont particulièrement sensibles les femmes, qui représentent maintenant 60 % des jeunes médecins.
Ces zones de sous-médicalisation ne sont vraisemblablement que les premiers symptômes d’une modification en profondeur de la distribution des soins, sachant que l’offre ne correspond plus, dans bien des cas, à la demande, et qu’il faut trouver des solutions innovantes pour répondre à ce besoin qui correspond à un marché qui intéresse déjà les industriels de la santé comme le groupe Ramsay Santé (anciennement Générale de santé, filiale de la Générale des eaux rachetée par un groupe australien), qui compte implanter prochainement des centre de santé dans diverses régions de France actuellement sous-dotées. Mais les solutions adoptées par les industriels ne pourront être que rentable. Qui paiera ?
Le réalisateur Kenneth Branagh est prolifique, c’est le moins que l’on puisse dire, son adaptation de Mort sur le Nil est encore projetée dans la plupart des cinémas qu’un nouveau film sort en salles. Cette qualité de l’artiste a pour fâcheuse contrepartie la réussite aléatoire de ses projets. En atteste précisément son travail sur l’œuvre d’Agatha Christie, criard sur le plan visuel, cabotin dans son interprétation et idéologiquement douteux. On sait pourtant que le cinéaste est capable du meilleur ; souvenons-nous de son Frankenstein (1994) avec Robert de Niro ou de sa version de Hamlet (1996) qui fit connaître Derek Jacobi au public français.
Avec Belfast, il semble que Kenneth Branagh ait retrouvé l’inspiration des beaux jours.
Nous évoquions récemment, sur Boulevard Voltaire, les cinquante ans du Bloody Sunday et les raisons qui aboutirent à cette tragédie. Comme en écho à ce bien triste anniversaire, le nouveau film de Branagh prend pour contexte le début des « troubles » en Irlande du Nord à l’été 1969.
Il faut savoir qu’à l’époque, depuis deux ans, le climat ne cessait de se détériorer entre les communautés protestantes et catholiques. Les « papistes », comme les appelaient les unionistes, multipliaient aux côtés de la Northern Ireland Civil Rights Association (NICRA) les marches pacifistes en vue d’obtenir une meilleure représentation politique ainsi que l’égalité des droits en matière d’embauche et dans l’attribution des logements. En réaction à ce mouvement, en août 1969, des casseurs loyalistes se ruèrent dans les quartiers catholiques de Belfast et mirent le feu aux habitations. Le 15 au matin, on dénombrait 7 morts et 750 blessés. 1.800 familles, dont 1.500 catholiques, avaient été contraintes d’abandonner leur domicile en flammes. En reprenant possession des lieux, les soldats britanniques furent pratiquement accueillis en libérateurs par les populations catholiques (!). Pierre Joannon, dans son Histoire de l’Irlande, se risque même à évoquer une tentative « d’épuration ethnique » de la part des orangistes, c’est dire le degré de violence des affrontements.
Dans ce contexte très particulier démarre le récit de Kenneth Branagh. Librement inspirée de son enfance, cette autofiction relate avec nostalgie les derniers mois vécus à Belfast par l’auteur et sa famille avant de partir s’installer en Angleterre pour fuir les conflits.
Ouvriers protestants, les parents de Buddy sont issus de la majorité confessionnelle et n’ont pas de raison, a priori, de se sentir menacés. Pacifistes, néanmoins, ils désapprouvent le sort réservé à leurs voisins de quartier catholiques, régulièrement agressés et contraints, sous la pression, de déménager les uns après les autres. Une compassion qui sera reprochée au père et l’exposera à la vindicte d’un caïd local.
Au milieu du chaos ambiant et des problèmes financiers de ses parents, Buddy parvient malgré tout à préserver son innocence, garde sa capacité d’émerveillement – devant les westerns américains, les feuilletons télévisés ou lorsqu’il joue à pourfendre les dragons avec son épée de bois –, s’interroge sur les voyages lunaires et rêve d’épouser la meilleure élève de sa classe. Cette dernière préoccupation, du reste, fait l’objet de graves discussions entre Buddy et son grand-père paternel, incarné à merveille par Ciarán Hinds, peu avare en conseils de séduction et autres techniques d’approche. Le point fort du film de Branagh se situe probablement dans cette relation complice et privilégiée qu’entretiennent le vieil homme et son petit-fils. Âgé de dix ans seulement au moment du tournage, Jude Hill fait preuve d’une maturité déconcertante dans son approche du métier de comédien. Vif, le gamin n’a aucun mal à saisir les enjeux du récit et à porter le film sur ses épaules.
Le cinéaste cède bien à quelques facilités du genre, qu’il s’agisse de stéréotypes sur l’enfance ou de l’utilisation du noir et blanc pour signifier l’idéalisation des souvenirs ; cependant, le regard distancié et ironique qu’il pose sur ses personnages aux dialogues (souvent) espiègles rattrape largement ces défauts mineurs.
Nous avons bien reçu votre courrier par lequel vous daignez nous faire connaître votre désir de candidature à l’élection présidentielle d’avril 2022. Espérant qu’il ne s’agisse pas d’un canular, nous vous donnons acte de votre engagement supposé, à la fois anonyme, discret et pour le moins bien tardif.
S’agissant d’une demande d’emploi ordinaire, nous vous aurions répondu, comme c’est malheureusement le cas pour beaucoup, que nous vous remercions de votre proposition mais qu’hélas d’autres dossiers présentent des références plus en conformité avec notre besoin présent. Toutefois, nous nous proposons de conserver par devers nous votre lettre et nous ne manquerons pas de vous contacter si ultérieurement un poste plus en adéquation avec votre profil se présentait. Cependant en la circonstance et compte tenu de vos prestations récentes, je suis au regret de récuser ouvertement, publiquement et sans artifice, votre offre de service. Je vais même vous exposer les raisons de ce refus, ce qui me paraît être le moindre des enseignements destinés à vous faire progresser, si toutefois cela était envisageable.
Pour commencer, qu’il me soit permis de regretter l’usage immodéré et pour tout dire abusif que vous avez fait de ces très longues dernières semaines durant lesquelles vous avez tenté de dissimuler vos ambitions personnelles derrière votre rôle putatif de « Père de la Nation », protecteur hiératique des Français et de la paix (n’est pas Clemenceau qui veut !). D’autres en avaient un peu joué, vous avez amené cette ruse à des sommets inégalés voire inaccessibles pour quiconque d’autre que vous.
Je vous accuse donc en conséquence d’avoir fait usage de façon frauduleuse du denier public dont notre pays ne saurait être prodigue dans la situation catastrophique qui est la sienne et pour laquelle il vous doit beaucoup sinon l’essentiel.
Dans votre missive vous utilisez le pronom « nous » pour « nous » associer aux épreuves que notre pays a subies. Je récuse cette association car si « nous » avons subi dans la dignité et la solidarité les crises de ces 5 dernières années, vous en êtes l’initiateur pour un grand nombre d’entre elles et celui dont l’impéritie a conduit aux autres.
« Nous avons tenu sans jamais renoncer », dites-vous avec un aplomb sans aucune vergogne. Je considère, pour ma part, que si les Français se sont montrés fermes et résolus dans la lutte, ils ont eu bien du mérite à comprendre vos diktats sans alternatives et dangereux ainsi que vos incessants renoncements absurdement qualifiés par votre « en même temps ». Il se peut que le taux de chômage se soit incliné, mais comment pourrait-on nier qu’il l’ait fait en augmentant de façon exorbitante la précarité et en abaissant outrancièrement le niveau de vie général des Français et surtout des plus modestes ?
Si notre industrie a su créer quelques nouveaux emplois, ceux-ci ne sauraient masquer la continuation des fermetures ou des délocalisations qui se poursuivent conformément à la volonté de tous les mondialistes dont le progressisme tourne le dos à l’amélioration de la vie dans notre pays.
J’imagine l’ébahissement de tous les personnels de santé ainsi que des patients lorsque vous vantez l’amélioration des structures hospitalières supposément dues à nos investissements pourtant pas même au niveau d’un petit rattrapage et surtout bien loin de tout ce qui se fait ailleurs (oui, nous lisons la presse étrangère, ne nous contentant pas de la soupe servie par les médias nationaux très conformistes et baignant dans une pensée unique qui paralyse tant de gens). Idem pour tous nos militaires qui doivent se sentir consternés par vos affirmations dénuées du moindre élément de réalité concernant les équipements de nos armées, la paupérisation et l’obsolescence qui les touchent comparées à votre autosatisfaction autosuffisante.
Sur le plan financier, vos mensonges sont dévoilés par l’évidence des chiffres. Le déficit budgétaire atteint des sommets et l’endettement, déjà conséquent avant votre prise de pouvoir, s’envole pour ne plus atterrir jamais. Les avoirs étrangers en France, notamment ceux de vos amis Qataris ou Saoudiens, dépassent de cent coudées les avoirs Français à l’étranger. La France ne s’appartient plus, elle n’appartient plus à ses légitimes propriétaires, les Français qui ne vous disent pas merci pour ça !
Comme le disait le général de Gaulle, bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant : l’Europe ! L’Europe ! L’Europe ! Mais ça n’aboutit à rien et ça ne signifie rien. Il faut prendre les choses comme elles sont. Vous avez un pays français. Il y en a un. Vous avez un pays allemand. Il y en a un. Vous avez un pays italien, un pays belge, un pays hollandais, un pays luxembourgeois. Et vous avez un peu plus loin un pays anglais et un pays espagnol… C’est une évidence depuis 80 ans. Toutes vos tentatives en matière de processus européen se sont soldées par des humiliations plus ou moins énormes. Vos tentatives, parfois énamourées, envers Trump, Poutine voire Angela Merkel ont toutes conduit à faire du représentant de la France la risée de tous les autres. Vous avez abaissé l’image de la Présidence française, de la France et de vous-même (cette dernière humiliation ne regardant que vous et pour dire vrai, celle-ci, on s’en fout royalement !).
« Nous n’avons pas tout réussi » dites-vous ? Vous eussiez dû dire « j’ai tout raté ». Cela eût été plus juste et surtout plus honnête. Comment avez-vous l’audace de vanter et prôner aujourd’hui l’énergie nucléaire après avoir sabordé un outil incomparable de performance et de rentabilité ? À vouloir faire le contraire de ce que vous avez fait et qui a conduit à vos échecs inéluctables depuis l’origine de vos décisions absurdes, vous êtes incrédible.
Tout le reste de votre récit et un tissu d’inexactitudes d’approximations et parfois de mensonges. « Défendre notre singularité française implique enfin de promouvoir une certaine manière d’être au monde. Un art de vivre millénaire… Une histoire, une langue, une culture que lorsque l’on est Français, on se doit de connaître, d’aimer, de partager. » dites-vous ? Mais n’est-ce pas vous qui avez nié la culture française ? N’est-ce pas vous qui vous êtes benoîtement tu sur l’instauration de l’écriture inclusive ? N’est-ce pas vous qui avez vilipendé l’histoire de ce pays auteur d’un « crime contre l’humanité » avez-vous spécifié honteusement ? Allons, Monsieur Macron, soyons sérieux. Les ficelles sont trop grosses. Cessez vos mystifications, ôtez ce nez rouge qui n’a jamais ravi que les bénéficiaires de votre générosité intéressée.
Vous n’aimez pas les Français, Monsieur Macron. En 5 ans vous l’avez démontré à moult reprises par vos paroles méprisantes, par votre orgueil sans limites et vos viles atteintes à la dignité des travailleurs modestes. Vous n’aimez pas plus la France d’ailleurs dont vous avez malmené le grand récit historique alors que vous auriez dû, comme Napoléon, l’assumer dans son entièreté et ne surtout pas dénoncer en terre étrangère chez l’ennemi d’hier. Vous avez affligé et amoindri le patrimoine économique de la France au travers des tristes épisodes Alsthom ou EDF dont il n’est nul besoin de redire le déroulement dont le désastre vous incombe et à vous seul.
Il me serait loisible de pourfendre à l’envi avec autant d’arguments pertinents votre incohérence, votre perfidie, votre incurie. Je finirais néanmoins en dénonçant votre pusillanimité à refuser le débat, un débat auquel vous ne pourrez échapper dans un second tour au cours duquel le « contraire de vous » (vous voyez de qui je veux parler) saura mettre à jour tout l’intérêt que nous aurions à vous écarter de notre destinée notamment en analysant le bilan de vos 5 années de délabrement de la France.
Je crois avoir été clair sur les raisons qui nous poussent à rejeter votre offre. Sans vous. Pour la France pour tous les Français. VIVE LA RÉPUBLIQUE MAIS SURTOUT VIVE LA FRANCE !
Ça y est le poudré s’est enfin et malheureusement déclaré candidat à la présidentielle. Evidemment tout le monde s’en doutait, mais chacun à la fois le redoutait et espérait que dans une lueur de bon sens il renonce au dernier moment. C’est donc l’heure au moment où il veut se soumettre au vote des Français de faire le bilan. Ce bilan est lourd très lourd car malheureusement pour la France et les Français en cinq ans il a pratiquement tout raté !
Je commencerais par un sujet qui me tient particulièrement à cœur.
– L’immigration légale et illégale. Si son niais de prédécesseur avait déjà bien chargé la barque, lui a laissé 2 250 000 immigrés, sans compter les illégaux, pénétrer sur notre sol, sans se soucier ni de savoir d’où ils venaient, ni quels étaient leur formation. Sans savoir ce que nous allions faire de tous ces gens qui, au passage, ne fuient pas leur pays, mais viennent uniquement chercher chez nous les largesses de nos aides sociales, permettant ainsi d’assécher ces caisses sociales qui ne peuvent plus intervenir pour les véritables Français de souche, sans jamais renvoyer chez eux ces tristes sires !
– La violence qui est exponentielle et qui rend notre pays en véritable coupe-gorge. Malheureusement cette violence est directement la conséquence de l’immigration. Ces gens ne connaissent pas nos mœurs et nos coutumes, et pour un oui ou pour un non, n’hésitent pas à égorger, décapiter, violer (est-ce la conséquence de leur venue sans leurs femmes ?). Bref Macron a transformé la France en véritable Bronx ou il devient impossible de se promener passer 21 Heures !
-La dette : Hollandouille avait déjà creusé le fossé. Sous Macron, c’est devenue abyssal. Jugez plutôt, 875 MILLIARDS ! Je ne sais pas comment nos enfants vont s’y prendre pour rembourser, mais je suis certain que si nous ne trouvons pas un moyen de passer l’ardoise magique, ils seront condamnés à travailler toute leurs vies pour boucher le trou créé par cet inconscient. Et si par malheur il venait à être réélu, il a déjà indiqué qu’il aiderait les entreprises impactées par la guerre en Ukraine. Avec quel argent ? Avec celui qui viendra inexorablement grossir les 875 Milliards !
-La réforme des retraites qu’il s’était engagé à faire a été mise sous le chapeau de façon à refiler la patate chaude au suivant.
-La suppression de nos libertés et la censure : durant ce quinquennat on nous a empêché non seulement d’aller et venir selon nos envies, mais en plus ce quinquennat a été le quinquennat de la censure par la presse aux ordres du pouvoir, qui le lui rend bien en l’abreuvant d’argent frais !
-La justice : La justice de notre pays est devenue complètement POURRIE et je suis bien placé pour en parler, moi qui suit le procès des attentats de Paris, et qui ait déposé une plainte contre l’immonde (l’affaire devrait être plaidée lorsque tout le monde aura oublié dans un an !).
-L’Armée : Notre armée ne représente plus rien. Elle est sous motorisée, sous armé et en cas d’agression, en 48 Heures, l’affaire serait réglée. D’où le départ suite à une énième réduction de crédit du Général De Villiers .
-L’enseignement : Là c’est une véritable catastrophe. Vous retrouvez en secondaires des élèves qui ne savent ni compter ni écrire une lettre, sans faire de fautes toutes les deux phrases, et lisent avec beaucoup de difficultés. Nos écoles supérieures qui dans le temps étaient parmi les mieux classées trainent désormais dans les profondeurs des classements internationaux !
-Le pouvoir d’achat des Français : qui chute lamentablement et surtout celui de ceux qui ont en charge de donner à manger aux Français. Au premier rang, les agriculteurs, les marins-pêcheurs, alors qu’on n’hésite pas à faire rentrer en France des produits étrangers qui pour la plupart ne valent rien! Le coût de l’essence composé à 90% de taxes en tous genre et que vous laissez filer sans vous y intéresser !
-La police qui n’ose plus mettre un pied dans les quartiers islamisés où règne le marché de la drogue et qui se fait incendier sans pouvoir répliquer.
-Rabaissement de la France. A chacun de vos voyages vous n’avez pas hésité de critiquer la France et les Français en les rabaissant comme s’ils étaient responsables de tous les maux de la terre et dont vous êtes pourtant le Président.
-Rabaissement de la fonction présidentielle. Un vrai Président doit savoir tenir son rang et en se rendant coupable de danser avec des jeunes torses nus (pour la plupart Africains) bras dessus bras dessous, qui vous enlaçaient par la taille vous avez ridiculisé votre fonction !
-Face à TOUS les autres Chefs d’Etat, vous passez pour une bille. Vous avez voulu courtisé Trump, qui n’a pas hésité à vous ridiculiser en vous époustant, vous étiez aux ordres de la grosse Merkel, et maintenant vous continuez à vous ridiculiser en nous annonçant que suite à votre discussion avec Poutine, vous avez réussi à lui faire admettre d’épargner les civils. Dans la nuit, celui-ci, je ne sais pas si c’est pour vous ridiculiser, a doublé les bombardements. En réalité vous ne maitrisez RIEN, et par votre action, vous avez contribué à ce que la France ne représente plus rien dans le monde. En politique étrangère, tout le monde désormais se fout de la position de la France qui doit être tombée au 8° rang mondial. C’est une honte !
-VENTE D’ALSTOM. Là vous avez réussi une rare performance : Vous avez vendu ce fleuron de l’industrie Française et l’avez douteusement laissé partir… pour la racheter 2 ans après le double du prix que vous l’aviez vendu, mais amputé d’un bon tiers de ses activités. Espérons qu’une enquête sera diligentée pour cette infamie !
-Enfin j’ai gardé le meilleur pour la fin : Votre gestion CATASTROPHIQUE de la crise sanitaire. Il est vrai que pour cela vous n’avez pas été aidé par les branquignoles que vous avez nommés en tant que ministre : entre la connasse qui ne savait pas mettre un masque, et qui disait que cela ne servait à rien, avant de se dédire complètement la semaine suivante, le jeune cadre paraissant dynamique qui se dit médecin, mais qui n’a jamais dû exercer de sa vie, et votre premier sinistre avec sa tronche de croque-mort, c’était à celui qui allait être le plus con, et qui prendrait la plus bête des décisions, comme l’interdiction de prendre un café debout tout en l’autorisant assis !
ENFIN ET C’EST INADMISSIBLE, vous avez dressé les Français vaccinés contre les non-vaccinés, que vous n’avez d’ailleurs pas hésité à exclure de la nation tout en voulant continuer à les emmerder ! J’espère simplement que ces 25% ne vous apporterons pas leurs voix puisque vous avez décidé de les exclure !
Monsieur le Président, j’ai bien compris que vous n’en avez rien à foutre de la France, et des Français, qui j’espère, vous le rendront bien. Vous avez conduit la France d’échec en échec, c’est d’ailleurs peut-être la raison de votre déclaration tardive, et par écrit, n’osant peut-être pas le faire les yeux dans les yeux avec les Français. Je sais que ce qui vous motive, c’est une Europe Fédérale, qu’évidemment vous dirigeriez, mais voilà en France, il y a des patriotes, dont je fais partie, qui ne veulent pas de cette solution et qui tiennent par-dessus tout à leur pays.
LA France à ses mœurs et coutumes, et surtout à son indépendance. C’est pour cela malgré les sondages bidonnés qui vous positionnent à 29% (je pense que c’est de la simple propagande), j’espère que les Français ne vous apporteront pas leurs voix car « si un homme te trompe une fois honte à lui si il te trompe deux fois honte à toi ».
[#SudRadio] #LesVraiesVoix 🗣️ @JulienOdoul : "J'ai vu un certain nombre d'immigrés ukrainiens vouloir repartir courageusement en #Ukraine se battre, j'aurais aimé qu'il y ait aussi des immigrés maliens pour se battre au #Mali à la place de nos fils"
🗣️ "Au moment où l'Europe est en guerre et se divise, il faut avoir à l'esprit que nous subissons une invasion migratoire depuis des années" pic.twitter.com/sT8TFgCGYI
Comment ‘R : Dans l’indifférence des médias et des français, l’Afrique s’attaque aux portes de l’Europe avec cet envahissement de l’enclave espagnole par des milliers de clandestins. Pendant que les médias passent leur temps à parler de l’Ukraine, l’envahissement de notre continent continue inexorablement. Cette submersion est réelle, si rien n’est fait, la fin de la France telle que nos parents et grands parents l’ont connu disparaitra totalement…. Apparemment cela n’intéresse personne… A priori le peuple français est d’accord pour basculer dans cette nouvelle civilisation. Question de génération et d’époque. Espérons que les français le font en toute connaissance de cause et qu’il ne le regretteront pas.Pour ma part l’affaire je pense que l’affaire est pliée. Macron sera réélu en avril, 2022 sera à marquer d’une pierre noire.
04/03/2022
Selon le journal local Melilla Hoy, il s’agit de la tentative d’entrée la plus massive jamais enregistrée par la ville autonome.
D’après le site d’information El Confidencial, il ne fait aucun doute que ces tentatives, rendues possibles par la passivité des autorités marocaines de l’autre côté de la “valla”, sont un moyen pour le Maroc de faire pression sur l’Espagne.
Quelque 1200 migrants ont tenté de franchir jeudi 3 mars au matin la haute clôture protégeant l’enclave espagnole de Melilla, sur la côte nord du Maroc, et environ 350 y sont parvenus, ont annoncé les autorités locales.
Mercredi, 2500 migrants avaient fait de même lors de la tentative de passage la plus massive jamais enregistrée dans cette enclave. Près de 500 avaient réussi à entrer à Melilla. «À environ 06H00 (05H00 GMT) aujourd’hui, le commandement de la Garde civile a vu un groupe d’environ 1200 migrants s’approcher de la clôture», a indiqué la préfecture de Melilla dans un communiqué.
«Après avoir débordé les forces de sécurité marocaines, ils ont commencé, vers 07H25 (06H25 GMT), à franchir la clôture (…) lançant des pierres et utilisant des crochets et des bâtons contre les forces de sécurité», a-t-elle ajouté. «Nous estimons qu’environ 350 sont entrés dans la ville», a poursuivi la préfecture.
2000 Africans and Moroccans assaulting the Spanish southern border today. Police has been ordered not to use force to defend the border. This is also an invasion. NATO will not defend Ceuta, Melilla and Canary Islands pic.twitter.com/sxz46bWbeT
Près de 500 migrants sont parvenus, mercredi 2 mars, à pénétrer dans l’enclave espagnole de Melilla, située sur la côte nord du Maroc, sur un total de 2 500, lors de la tentative de passage la plus massive jamais enregistrée dans cette enclave, selon les autorités locales. “Vers 9h30, un groupe de quelque 2 500 personnes originaires d’Afrique subsaharienne a tenté un franchissement massif de la clôture frontalière de Melilla”, a déclaré dans un communiqué la préfecture de Melilla, avant d’ajouter que 491 migrants étaient parvenus à entrer dans l’enclave.
“La grande violence employée par les migrants” – équipés “de crochets” pour escalader la clôture grillagée et de “bâtons” et qui “jetaient des pierres” – leur a permis de “déborder les forces de sécurité marocaines qui tentaient de les empêcher d’atteindre la clôture”, a expliqué la préfecture.