Nos paysans se suicident, les clandestins mangent à l’oeil…

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Les uns nous nourrissent.. et en meurent. Les autres sont gavés et nous agressent.

« Je serai votre bouclier », « Je suis un des vôtres ». Ce vendredi, à l’occasion du 20e anniversaire de l’IGP Jambon de Bayonne à Arzacq-Arraziguet, le nouveau ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Didier Guillaume a enchaîné les formules chocs pour assurer son soutien au monde agricole.
Il promet de défendre les agriculteurs face à la grande distribution : Aujourd’hui, les agriculteurs sont pris pour des esclaves, on les fait travailler, travailler, et à l’arrivée ils ne sont pas payés au prix où ils devraient l’être. Le ministre compte aussi sur les ordonnances qu’il va promulguer sous peu pour aider les agriculteurs. Celles-ci permettront entres autres d’encadrer les promotions ou encore de réévaluer le seuil de vente à perte.
Un autre sujet s’ajoute à la pile de dossiers qui attendent le ministre pour le début de son mandat : la mise en application de la loi Agriculture et Alimentation. « Les décrets d’application seront signés dans les six mois qui viennent », a-t-il annoncé. Pour lui, l’objectif premier est donc que les agriculteurs aient un vrai revenu, afin de renforcer l’attractivité de ce métier.

Tous les deux jours, un paysan se donne la mort en France.

La vie des agriculteurs français est si difficile que nombre d’entre eux en viennent à commettre l’irréparable: comment en sommes-nous arrivés là?
Au-delà des problèmes économiques, le monde paysan souffre d’un grand manque de reconnaissance. On a progressivement délaissé les campagnes et avec elles notre considération pour l’agriculteur, qui a pourtant un rôle fondamental. Les paysans meurent en silence. Ils sont gommés, effacés.
On évoque souvent les problèmes d’endettement des agriculteurs: est-ce aussi une cause du nombre incroyable de suicides dans la profession?
Une des causes principales de leur désespoir tient aussi au surendettement auquel nombre d’entre eux sont sujets.

Certains agriculteurs travaillent pour des laiteries qui, certes, achètent en grande quantité mais payent le lait excessivement bas, et poussent les agriculteurs à vendre à perte. Le même lait qui servira pour produire du chocolat de grande marque qui, lui, est loin d’être vendu à perte: situation inique.

Le métier d’agriculteur est un des rares métiers qui soit météo-sensible: l’agriculteur doit pouvoir voir à long terme, investir et s’engager.
Les paysans étaient les derniers à avoir les valeurs du travail bien fait, de la conscience de la terre et de la famille. En mettant à mal notre agriculture nous avons affaibli ces valeurs.

Le retour de bâton ne saurait tarder à se faire sentir. Les paysans étaient les derniers à avoir les valeurs du travail bien fait, de la conscience de la terre et de la famille. En mettant à mal notre agriculture nous avons affaibli ces valeurs. Loin d’un monde caricatural et du tas de fumier au milieu de la ferme qu’on imagine souvent, les paysans sont des gens qui évoluent avec des repères solides. Produire du blé exige de passer ses journées accroupi à ramasser des pierres, à composer avec le cycle de la nature, des saisons et du climat.

Pourtant, les agriculteurs sont passés à côté des gratitudes que notre société offre, elle les a oubliés. Quand bien même ce sont les paysans qui assurent la satisfaction de nos besoins primaires. Une pénurie de nourriture conduirait notre société à se rappeler aussitôt de l’importance de nos agriculteurs.

Venons-en aux migrants qui eux, ne se lèvent pas chaque jour à 4 heures pour traire les vaches.
Pas question de supprimer le social aux clandestins. Après les soins gratuits, ils ont droit à l’école gratuite pour leurs enfants et à une réduction de 75% sur les transports en commun. Ceux qui se lèvent tôt et paient plein pot apprécieront.

La priorité d’Emmanuel Macron ce ne sont pas nos paysans qui crèvent de faim avec 350 euros par mois, ce sont les migrants pour lesquels rien n’est trop beau. On donne 800 euros par mois à tout étranger de 65 ans qui n’a jamais ni travaillé ni cotisé en France
Reprenons des nouvelles des migrants de Briançon. On vous avait montré leurs cours de Français. Place maintenant au ski. En effet, ils essayent le ski de fond aux Guibertes au Monêtier. Il y a des chutes mais surtout de la bonne humeur. Regardez cet extrait de D!CI’MMERSION.

Le même mois : mon voisin, éleveur d’une dizaine de vaches laitières me confirmait que le prix qu’il reçoit pour le lait n’a pas bougé depuis 20 ans. Il s’est tué la semaine dernière.

Une autre situation bien caractéristique :
https://ripostelaique.com/scandale-a-montlucon-les-clandestins-mangent-gratuitement-au-flunch.html

À côté de l’hypermarché se trouve un restaurant que mes enfants apprécient. Nous avons croisé plusieurs musulmanes voilées, entourées de leurs marmailles pondues grâce à nos aides sociales, qui poussaient des chariots remplis à ras bord. En arrivant dans la galerie commerciale, ensuite un Noir barbu en djellaba, qui semblait juste arrivé d’un pays musulman d’Afrique Noire, et qui n’avait visiblement aucune envie de s’assimiler en France, comme sa tenue le prouvait. Mais c’est dans le resto qu’eut lieu la scène. Après avoir posé nos entrées et nos couverts sur nos plateaux (libre-service), nous avons fait la queue à la caisse pour commander et payer nos repas. Devant nous un jeune Noir (de 20 ans environ), visiblement en pleine santé. Arrivé devant la caissière, il lui présenta une feuille de papier divisée en colonnes. A gauche étaient indiqués les jours de la semaine, et les trois autres colonnes portaient comme titres « petit-déjeuner », « déjeuner » et « dîner ». La caissière écrivit dans la case « dîner » correspondant au jour en cours, et signa. Ensuite, elle s’adressa avec familiarité au jeune Noir, elle l’avait donc déjà souvent vu dans ce restaurant :
– Tu veux quoi comme plat ? Tu veux un dessert aussi ? Tu veux du pain ? Tu veux une boisson ? Tu veux un café ? Demain, essaie d’arriver un peu plus tôt, pour qu’on puisse te servir avant que le restaurant ne se remplisse.

Puis, à ma stupéfaction, le jeune Noir emporta son plateau, sans avoir payé quoi que ce soit ! Je compris alors que c’était un clandestin, qui y mangeait gratuitement depuis des semaines, puisque, sur le papier qu’il avait présenté à la caissière, toutes les cases précédant celle du dîner du jour en cours étaient remplies ! Le suivant du regard, je le vis rejoindre deux autres jeunes Noirs qui étaient déjà en train de manger à une table, et s’asseoir à côté d’eux, après leur avoir adressé la parole dans une langue africaine. Ainsi, ces clandestins mangent gratuitement au Flunch, chaque matin, chaque midi et chaque soir, grâce à cette feuille de papier « magique » !

Une semaine avant : René, 64 ans, cultivateur, se suicide. Sa femme l’a retrouvé pendu dans la grange.

Onze familles de migrants (40 personnes au total), sont arrivées lundi à Saint-Nazaire. Après les arrivées de ces dernières semaines en provenance de Calais, ces familles sont logées gratuitement ici. La population n’a pas été consultée alors même que certaines personnes dans la précarité auraient essuyé un refus de logement de la part du CCAS.

Le lendemain : c’est dans son lit que la police a découvert le cadavre de Jean-Pierre, éleveur. Il s’était ouvert les veines.

Si les autochtones ne peuvent ni se loger en totalité ni accéder à un logement décent en payant, on se demande bien pourquoi la caste politicienne actuelle ouvre les frontières à des milliers d’immigrés « légaux » chaque année sans compter les fameux « migrants » qui envahissent l’Europe et notre pays sous des prétextes vaseux de dangers les menaçant alors qu’ils ne sont, le plus souvent, qu’individus masculins qui pourraient lutter, dans leur pays, pour le défendre des barbares qui l’assaillent.

Frank, 35 ans, cultivateur, se pend dans le grenier de sa ferme. C’est son petit garçon de 10 ans qui le retrouve.

Vive tension ce lundi devant l’ancienne maternité de Montmorency, où vivent une cinquantaine de réfugiés syriens et irakiens. Postés devant le bâtiment, ils ont écrit leurs revendications sur des bouts de carton. C’est l’annonce qui leur a été faite de leur transfert au centre de séjour de Cergy-Pontoise qui a mis le feu aux poudres. Ils ne veulent pas aller à Cergy, où ils vont être cinq ou six par chambre, explique un réfugié syrien. Rabira, mère de famille syrienne dont les deux enfants sont scolarisés à Montmorency, explique ne pas souhaiter quitter la ville pour cette raison. Oubliée la nourriture de l’hôpital qui ne leur convient pas, le manque de connexion à Internet ou les soucis d’intrusion sur un site où les chambres ferment mal : certains évoquent leur impatience par rapport au regroupement avec leurs familles qui ne les ont pas encore rejointes.

Jean-Pierre, éleveur, avait laissé une note pour expliquer son geste tragique disant : Quand le désespoir est plus grand que l’espoir. Je n’en peux plus de souffrir. Les vaches m’ont tué.

Pas un jour sans que je me demande comment ce président peut encore rire.

Anne Schubert (dans Riposte Laïque)




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